Nouvelles

Travaux de contrôle de renouées asiatiques dans le secteur de l'île Haynes

Ce printemps, le Comité ZIP Jacques-Cartier débutera un nouveau projet de contrôle de deux espèces végétales exotiques envahissantes : la renouée du Japon (Reynoutria japonica) et la renouée Sakhaline (Reynoutria sachalinensis).  Le projet intitulé: « Travaux de contrôle de renouées asiatiques dans le secteur de l'île Haynes » est rendu possible grâce au Programme pour la lutte contre les plantes exotiques envahissantes de la Fondation de la Faune du Québec (FFQ) avec le soutien financier du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCCFP), ainsi que grâce au soutien financier de la Ville de Montréal.

Le secteur visé est un milieu naturel d’exception et rare de Montréal : le secteur de l'Île Haynes se trouve dans l’arrondissement de Rivière-des-Prairies – Pointe-aux-Trembles. Des méthodes durables, manuelles et peu dommageables pour la biodiversité seront utilisées pour restaurer les sites. D’abord, une coupe superficielle, suivie d’un arrachage des racines et des rhizomes seront effectués. Une toile sera posée au sol pour limiter la repousse des jeunes pousses et des suivis rigoureux seront réalisés au cours des prochaines années. Des plantations avec des espèces végétales indigènes seront également effectuées pour compléter les dernières phases du projet. Le projet s’étalera sur six ans, incluant trois années de suivis.

Les espèces végétales exotiques envahissantes peuvent nuire à la diversité végétale en réduisant le couvert végétal. Leur densité élevée et leur fort pouvoir de colonisation entrent en compétition avec les espèces végétales déjà présentes qui n'arrivent pas à s'établir promptement. On vous invite à consulter nos outils de sensibilisation sur la renouée du Japon : Renouée du Japon - YouTube

Faites votre part :

 

 

Retour à la liste des nouvelles
Abonnement à l'infolettre


Nous collectons vos renseignements personnels afin de vous inscrire à notre infolettre. Notre partenaire numérique pourrait avoir accès à ces renseignements

Infolettre
­